Impulsé par le cluster TIC Santé et piloté par Aquitaine Développement Innovation, le Living lab e-santé aquitain sera lancé jeudi 5 mars 2015 à Bordeaux de 16 h 30 à 20 heures à l’hôtel de région, 14 rue François de Sourdis à Bordeaux.
Ce living lab e-santé s’appuiera sur un tissu de compétences spécialisé dans les usages avec la particularité d’être un dispositif hors murs pour permettre une expérimentation en conditions réelles et à grande échelle.
Programme :
- 16 h 30 : ouverture « L’Aquitaine, terre d’expérimentation de solutions TIC et Santé ».
- 16 h 50 : une approche participative : les living labs santé et autonomie, en France et en Europe.
- 17 h 20 : deux exemples de projets industriels candidats au Living lab e-santé aquitain.
- 17 h 40 : les usages au cœur de l’innovation : quelles approches complémentaires ?
- Prise en compte des usages dans le développement d’un produit e-santé, méthodologie ;
- Usage et contraintes cognitives des interfaces homme/système dans un contexte pathologique et thérapeutique ;
- La dimension usage dans les innovations organisationnelles induites par des produits ou services e-santé, impact en économie de la santé et en management des organisations sanitaires et médico-sociales ;
- Plateaux d’expérimentation aquitains en lien avec la problématique des usages.
- 18 h 40 : « De l’intérêt pour l’acteur du système de soins de contribuer à un living lab », Autonom’Lab.
- 19 heures : Présentation du nouveau réseau des utilisateurs du Living lab e-santé aquitain.
- Modalités et inscriptions ;
- Signature des manifestations d’intérêt des organismes fédérateurs de l’écosystème sanitaire et médico-social aquitain.
- 19 h 15 : questions, temps d’échanges.
- 19 h 30 : cocktail dinatoire, enregistrement des candidatures.
> Qu’est-ce qu’un living Lab ?
Selon le réseau européen des living labs (ENoLL – European network of living labs), un living lab « regroupe des acteurs publics, privés, des entreprises, des associations, des acteurs individuels, dans l’objectif de tester dans des conditions réelles et écologiques, des services, des outils ou des usages nouveaux, dont la valeur, soit reconnue par le marché. L’innovation alors ne passe plus par une approche classique (recherche en laboratoires, R et D, puis développement industriel), mais de plus en plus par les usages. Tout cela se passe en coopération entre des collectivités locales, des entreprises, des laboratoires de recherche, ainsi que des utilisateurs potentiels. Il s’agit de favoriser la culture ouverte, partager les réseaux et obtenir l’engagement des utilisateurs dès le début de la conception. »