Des résultats publiés au mois de juillet 2015 dans les comptes rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS) présentent les premiers travaux de réintroduction (pour le moment expérimentale) de la langoustine du fleuve dans quelques villages de la région de St Louis du Sénégal. Ces langoustines pourraient permettre de limiter la propagation de la bilharziose car elles sont grandes consommatrices des mollusques qui sont les hôtes intermédiaires du parasite.
Cest le centre de recherche biomédicale sénégalais « Espoir pour la santé », dirigé par le docteur Gilles Riveau, chercheur CNRS à lInstitut Pasteur de Lille, qui expérimente, avec des équipes de recherche américaines, cette réintroduction de langoustines dans les fleuves africains afin de lutter contre la bilharziose, maladie parasitaire invalidante et mortelle.
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