Alors qu’elle n’avait désigné ni médecin libéral, ni représentant des patients afin de parachuter des fonctionnaires du ministère de la Santé à la Haute Autorité de Santé, la ministre est finalement revenue à la raison en nommant l’ancien président du CISS.
Le SML constate que la ministre a ainsi voulu témoigner qu’elle était à l’écoute de la démocratie sanitaire qu’elle a tant défendue. Pour autant, il ne saurait y avoir de démocratie sanitaire sans les médecins libéraux.
Alors, Madame la ministre, encore un effort !
Encore un dernier effort pour imposer un médecin libéral à la HAS, qui montrerait à tous une volonté de ne pas confier les futurs choix de santé aux technos, mais à ceux qui assurent la santé des Français sur le terrain. Le SML se tient prêt à vous proposer des noms et plus particulièrement des femmes pour rétablir la parité défaillante au sein du nouveau collège de la HAS.
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