Des chercheurs Inserm de l’équipe d’épidémiologie des maladies allergiques et respiratoires (EPAR) ont analysé les données sur les risques de naissances d’enfants accusant un retard de croissance liés à la pollution atmosphérique.
Cette étude révèle que l’impact de la pollution atmosphérique durant la grossesse ainsi que les répercussions sur l’enfant après la naissance coûtent cher. Le montant pour la société est ainsi estimé à 1.2 milliards d’euros. Ces résultats ont été publiés dans la revue Archives de Pédiatrie de mai 2018.
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