Le dernier « point de vue » de Mercer porte sur les impacts chiffrés du projet de « reste à charge zéro » voulu par le gouvernement d’ici 2022, dans les domaines de l’optique, du dentaire et de l’audioprothèse.
> Télécharger le Point de vue Mercer – Reste à charge zéro – mai 2018
Aujourd’hui, ces trois postes représentent près de la moitié des cotisations des contrats d’assurance complémentaire pour les contrats collectifs. Aussi, le projet de reste à charge zéro aura inéluctablement un impact financier sur les contrats souscrits par les entreprises. En effet, quelle que soit la solution retenue, la couverture du reste à charge actuel ne peut s’imaginer que par la seule négociation tarifaire avec les professionnels de santé.
L’impact financier touchera en premier chef les entreprises offrant à leurs salariés des garanties minimales dites « entrée de gamme ».
Elles pourraient ainsi voir leurs cotisations augmenter au global de +5.6% à +8.9%. L’optique et le dentaire seraient en grande partie responsables avec respectivement des hausses allant de +1.9% à +3.2% et de +3% à +5 %.
Afin de mieux identifier les conséquences du « reste à charge zéro », Mercer propose ainsi un décryptage complet du projet, des chiffres clés, et offre des réponses à ces questions cruciales :
- Quelles sont les motivations de cette réforme ? Quelle ampleur du reste à charge aujourd’hui ?
- Quel impact financier ce dispositif aura pour l’entreprise ? Est-ce possible de ne pas répercuter le coût sur les salariés ?
- Quelles sont les modalités d’application connues à ce jour ? Quel sera le calendrier ?
Edwin ROBERT
Consultant
edwin.robert@wellcom.fr