Les nouvelles estimations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) mettent en évidence la nécessité d’un investissement accru et soutenu dans le développement des services de santé mentale dans les zones touchées par un conflit.
Une personne sur cinq (22%) vivant dans une région touchée par un conflit souffre de dépression, d’anxiété, de trouble de stress post-traumatique, de trouble bipolaire ou de schizophrénie, et environ 9% des populations touchées par le conflit ont un problème de santé mentale modéré à grave, selon à une analyse de 129 études publiées dans The Lancet. Les chiffres sont nettement plus élevés que l’estimation globale de ces problèmes de santé mentale dans la population en général, qui s’établit à une personne sur 14.
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