Pour entraîner une baisse significative de la mortalité due aux particules fines, il faudrait baisser leur niveau moyen d’au moins 3 microgrammes par m3 en moyenne annuelle, conclut une étude interdisciplinaire menée par des chercheurs de l’Inserm, du CNRS, de l’Inra, d’Atmo Auvergne Rhône-Alpes et de l’Université Grenoble Alpes.
Ce travail publié dans Environment international donne également un ordre de grandeur des coûts de la pollution en milieu urbain : 1200€ par habitant et par an dans les agglomérations de Lyon et Grenoble.
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Sources
Which decreases in air pollution should be targeted to bring health and economic benefits and improve environmental justice?
Xavier Morelli a, *, Stephan Gabet a, *, Camille Rieux b, Hélène Bouscasse c,d, Sandrine Mathy c, Rémy Slama a
a Equipe d’épidémiologie environnementale, IAB (Institut pour l’Avancée des Biosciences), centre de recherche Inserm, CNRS, et Université Grenoble Alpes, U1209, Grenoble.
b Atmo Auvergne-Rhône-Alpes, Grenoble, France
c Grenoble Applied Economics Lab (GAEL), CNRS and Grenoble-Alpes Univ., Grenoble.
d CESAER, Agrosup Dijon, INRA, Bourgogne Franche-Comté Univ., Dijon.
* Co-first authorship
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