« Les Chirurgiens-Dentistes de France (Les CDF) ont entendu le message du Président de la République qui voulait « qu’aucune entreprise ne soit perdue ». Il faut sauver toutes les entreprises, y compris celles des professions libérales, à l’instar des cabinets dentaires.
Particulièrement touchés, avec une activité réduite à néant, les chirurgiens-dentistes ont pris acte du report de certaines charges fiscales et sociales obligatoires. Cette mesure de première urgence a été cruciale, notamment pour préserver l’avenir des plus jeunes qui se sont engagés dans de lourds investissements pour débuter leur exercice.
Mais les incertitudes sur la reprise de l’activité des cabinets dentaires rendent ces dispositions très insuffisantes pour que l’engagement présidentiel sur leur pérennité soit tenu.
Récemment, le Premier ministre a confirmé : « zéro recette, zéro charge » !
Aussi, afin que les chirurgiens-dentistes puissent être en mesure d’assurer leur mission de santé publique lors de la reprise, les CDF demandent dès à présent la suppression des charges fiscales et sociales (URSSAF, retraite, impôts sur le revenu…) ! »
Contact presse : Elsa Carneiro – carneiro@lescdf.fr