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Plus que jamais les Français s’intéressent aux maladies respiratoires, mais connaissent-ils la BPCO ? (Communiqué)

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Le contexte actuel a mis en lumière un certain nombre de maladies respiratoires, ces malades atteints de pathologies chroniques étant considérés comme personnes fragiles face au virus de la Covid-19 : asthme, mucoviscidose, pneumopathie, fibrose pulmonaire, BPCO… Mais connaissent-ils cette dernière ? Non ? Pourtant, elle touche aujourd’hui en France plus de 3,5 millions de personnes et est l’une des moins connues car très souvent mal ou non diagnostiquée.

La BPCO qu’est-ce que c’est ? La Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive est une maladie des poumons et des voies aériennes, les bronches et les bronchioles sont en permanence obstruées. Par conséquent, le passage de l’air est freiné et l’oxygénation du sang perturbée. La BPCO engage le pronostic vital, c’est une maladie irréversible.

La BPCO est très souvent considérée comme la maladie des fumeurs. Dans les faits oui, le tabagisme, passif et actif, est largement responsable de la BPCO (80% des cas sont liés au tabac). Mais aujourd’hui, de plus en plus de non-fumeurs sont atteints par cette maladie, cela est principalement lié à leur environnement professionnel dans lequel ils sont exposés à certains polluants quotidiennement (gaz, fumées, vapeurs toxiques…).

Les principaux symptômes sont l’essoufflement permanent, une toux persistante, régulièrement des bronchites qui trainent à se soigner et une sensation de fatigue quotidienne. Émilie, patiente BPCO témoigne :

« J’ai une BPCO tabagique stade II depuis l’âge de 17 ans, alors que je ne fumais qu’occasionnellement. Le principal traitement étant l’arrêt du tabac, c’est ce que j’ai fait. Cela m’a permis de stabiliser la maladie et j’ai pu constater une nette amélioration de ma capacité respiratoire. Malgré cela, la BPCO ne disparait jamais, et elle est souvent associée à diverses conséquences, telles que l’augmentation du volume résiduel et l’hyperventilation. C’est ce qui m’handicape le plus au quotidien, car aux moindres efforts (conversation téléphonique, activité sportive, marche, etc.. ), je vais ressentir un essoufflement. »

Pour lire la suite du communiqué, cliquez ICI.

PJ

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