Une décision du Conseil d’État du 17 mars dernier, relevée par Les Échos, enjoint «au ministre des Solidarités et de la Santé d’abroger» l’arrêté qui «interdit la recherche de référencement dans des moteurs de recherche ou des comparateurs de prix contre rémunération» pour les «sites internet de commerce électronique de médicaments». Cette abrogation doit se faire dans un délai de deux mois, soit jusqu’au 17 mai.