L’enquête de la DGCCRF a permis de mettre en évidence le caractère trompeur de l’origine française alléguée, dans la mesure où ces masques étaient tous importés depuis l’Asie pour être ensuite reconditionnés dans les locaux visée dans des boîtes présentant la mention « Made in France ». Ces pratiques lui ont permis de vendre les masques présentés comme étant de fabrication française, ce qui constituait un argument de vente et lui permettait de pratiquer des prix corrélés à cette origine trompeuse. Les premières constatations de la DGCCRF montrent que le bénéfice illicite issu de ces pratiques frauduleuses pourrait atteindre plusieurs millions d’euros.