L’imagerie occupe une place de plus en plus importante dans la médecine moderne. La qualité des relations entre producteurs et consommateurs d’imagerie est donc essentielle.
Or, la pratique quotidienne montre que ce n’est pas toujours le cas. Les premières difficultés survinrent dans les années 80 avec l’arrivée des images en coupes, matricielles, numérisées, et la révolution que cela entraîna : explosion du nombre d’images qui rendit leur reproduction intégrale impossible, évolution technologique vertigineuse qui impliqua l’intervention active d’un radiologue, consultation des images numériques par le biais d’un moyen informatisé, inégalement réparti, et enfin imagerie multimodale ajoutant encore un niveau de complexité au système.
D’où l’apparition de difficultés relationnelles entre radiologues et cliniciens et des conséquences médicales et professionnelles que cela entraîna.
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CONTACT PRESSE : Virginie Gustin – virginie.gustin@academie-medecine.fr