Les chefs d’État et de gouvernement du G20 se sont réunis à Rome les 30 et 31 octobre pour évoquer les enjeux internationaux actuels les plus urgents et pour décider ensemble « des efforts communs à entreprendre afin de nous relever plus forts de la crise de la COVID-19 et de permettre une croissance durable et solidaire dans nos pays et dans le monde entier ».
« Reconnaissant que les vaccins figurent parmi les outils les plus importants de lutte contre la pandémie, et réaffirmant qu’une vaccination à grande échelle contre la COVID-19 constitue un bien public mondial, nous intensifierons nos efforts pour garantir un accès rapide, équitable et universel à des vaccins, des traitements et des tests diagnostiques sûrs, abordables, de qualité et efficaces, en accordant une attention particulière aux besoins des pays à faible revenu et à revenu intermédiaire. Pour permettre de progresser vers l’objectif mondial d’une vaccination d’au moins 40 % de la population dans tous les pays d’ici à la fin de 2021 et de 70 % d’ici à mi-2022, comme le recommande la stratégie mondiale de vaccination de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), nous agirons pour contribuer à stimuler l’approvisionnement en vaccins et en produits et services médicaux essentiels dans les pays en développement et pour lever les restrictions en matière d’approvisionnement et de financement. Nous demandons à nos ministres de la Santé de suivre les avancées vers cet objectif et d’étudier des moyens d’accélérer la vaccination mondiale en tant que de besoin », ont-ils notamment évoqué.
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(Re)voir la conférence de presse du Président Emmanuel Macron à l’issue du G20 à Rome :