L’activité des blocs opératoires et des maternités ne tient plus que sur la bonne volonté des médecins anesthésistes-réanimateurs hospitaliers : la situation décrite à Brest depuis la semaine dernière – 70 % de déprogrammation opératoire, faute de médecins anesthésistes-réanimateurs – n’est qu’un épiphénomène de la fragilité de la prise en charge de nos concitoyens y compris dans les grands centres hospitaliers.
La presse relaie régulièrement des fermetures temporaires ou des menaces de fermetures définitives de plateaux techniques faute d’anesthésistes-réanimateurs, dont certaines mettent réellement en danger la santé de nos concitoyens, en l’absence d’alternatives existantes.
Le SNPHARE demande que des mesures d’attractivité majeures soient rapidement prises pour restaurer l’attractivité de l’anesthésie-réanimation hospitalière.
Lire le communiqué complet du SNPHARE, présentant ses solutions.