Confronté à des difficultés économiques et sociales sans précédent, les 1 030 cliniques et hôpitaux privés attendent un signe fort du Premier ministre Gabriel Attal à l’occasion de sa déclaration de politique générale du 30 janvier, et des actes à la hauteur des enjeux pour faire de la santé, ce « trésor national », une priorité majeure du nouveau Gouvernement. Alors qu’une page politique s’ouvre dans notre pays, la Fédération de l’Hospitalisation Privée assure de son plein engagement et compte sur ses nouveaux interlocuteurs institutionnels pour garantir une pleine reconnaissance de ses missions, en complémentarité avec l’hôpital public.
Le secteur privé, qui rassemble 1 030 cliniques et hôpitaux privés et plus de 160 000 professionnels de santé, soigne chaque année 9 millions de patients et assure 35% de l’activité hospitalière en France. Grâce à son indispensable maillage territorial, y compris dans les territoires les plus défavorisés, il permet à plus de 85% des Français d’être situés à moins de 30 minutes d’un établissement de santé privé. Les 122 services d’urgence du secteur privé prennent en charge plus de 15% des passages aux urgences dans notre pays, avec des degrés de sévérité comparables au secteur public.
Le privé, un contributeur majeur au rattrapage des soins post-Covid et à l’offre de soins
La crise sanitaire qui a affecté notre pays aura au moins eu le mérite de casser les cloisons et de favoriser des coopérations agiles entre les différents acteurs de santé sur l’ensemble du territoire. Malheureusement, cet esprit Covid n’a pas perduré.
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