La journée mondiale de lutte contre l’endométriose est organisée le 28 mars, au coeur du mois de sensibilisation à cette maladie inflammatoire chronique d’origine gynécologique.
Pour rappel, elle se caractérise « par la présence anormale de tissu utérin (ou tissu endométrial) en dehors de la cavité utérine », précise l’Inserm. Sous l’effet des hormones ovariennes, « ce tissu prolifère et saigne », provoquant des inflammations, lésions, cicatrices, adhérences fibreuses ou kystes dans différentes zones de l’organisme : les ligaments utéro-sacrés, le vagin, les ovaires, la vessie, les uretères, les reins, le rectum, le côlon voire les poumons ou le cerveau, par exemple, même si cela est plus rare.