En France, on estime que les « troubles causés par l’alcoolisation foetale » touchent 1 % des naissances, c’est-à-dire 7 000 nouveaux enfants chaque année. Cela signifie qu’environ 500 000 Français souffrent, à des degrés divers, des séquelles de l’alcoolisation foetale.
C’est pourquoi les acteurs du secteur sanitaire se mobilisent, comme l’ARS de Haute-Normandie : En savoir plus