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Vaccination contre le papillomavirus: l’étude de l’agence du médicament est « partielle et ses conclusions partiales » pour E3M (Communiqué)

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L’ANSM a diffusé un communiqué le 14 septembre 2015 sur les résultats de l’étude réalisée conjointement par l’ANSM et l’Assurance Maladie qui « montrent que la vaccination contre les infections à papillomavirus humains (HPV) par Gardasil ou Cervarix n’entraîne pas d’augmentation du risque global de survenue de maladies auto-immunes » (…) mis à part une « augmentation du risque de syndrome de Guillain-Barré » aux « conséquences limitées (1 à 2 cas pour 100 000 filles vaccinées) ». L’ANSM en déduit que « les bénéfices attendus de cette vaccination en termes de santé publique restent bien plus importants que les risques auxquels elle peut exposer les jeunes filles. »

Cette étude suscite de la part de l’association E3M de fortes critiques :

Les auteurs ont choisi délibérément de ne pas prendre en compte la myofasciite à macrophages, seule maladie permettant (à l’heure actuelle) d’analyser le risque lié à la présence d’aluminium dans les vaccins.

Tout vaccin peut déclencher des maladies auto-immunes. Lorsque les auteurs du rapport disent qu’il n’y a pas d’augmentation de maladies auto-immunes après vaccination contre le HPV, il s’agit d’une comparaison avec les témoins (qui eux n’ont pas reçu de vaccin anti HPV). MAIS ces témoins ont (pour la plupart) reçu d’autres vaccins (par exemple le Revaxis ou le vaccin contre l’hépatite B). Or ceux-ci peuvent aussi déclencher des maladies auto-immunes, comme cela est indiqué dans leurs notices. Si tout ou partie des maladies auto-immunes des témoins sont le fruit de vaccinations antérieures, cela fausse les résultats de l’étude. Comment cette question est-elle traitée dans l’étude? Nous n’avons pas d’information.

Les principes “d’impartialité, de transparence, de pluralité et du contradictoire” posés par la Charte de l’expertise sanitaire votée par le Parlement suite à « l’affaire du Mediator » (article L. 1452-2 du code de la santé publique) ne sont pas respectés (pas de transparence sur les liens d’intérêts, non prise en compte des avis contradictoires).

L’ANSM n’a scientifiquement (et déontologiquement) pas le droit d’annoncer que la balance bénéfice-risque reste très favorable à cette vaccination. En effet, les nombreuses questions posées sur l’efficacité et l’intérêt de ce vaccin depuis plusieurs années (risque de diminution du suivi par frottis, alors que celui-ci est le seul mode complet de prévention du cancer du col de l’utérus ; risque de développement des souches de virus non incluses dans le Gardasil ou le Cervarix, qui pourraient prendre la place des souches éliminées par la vaccination…) n’ont toujours pas de réponse.

Les moyens mis en œuvre dans cette étude par l’ANSM, avec le concours de la CNAMTS, sont très importants. Il est profondément regrettable que les scientifiques spécialistes de la myofasciite à macrophages, les associations médicales critiques sur l’intérêt de cette vaccination contre le HPV, et les associations représentant les malades (E3M et REVAHB) n’aient pas été associés à cette étude. Cela aurait certainement permis de réaliser un travail exhaustif qui aurait répondu aux attentes de la population.
Le ministère de la santé ne peut donc s’appuyer sur cette étude partielle et partiale pour promouvoir la vaccination contre le HPV.

Le rapport que nous avons rédigé à ce sujet est donc toujours d’actualité.

Mais au-delà de cette question de la vaccination contre le HPV, nous interpellons le gouvernement :

De telles études ignorent et rejettent les malades de l’aluminium vaccinal. Ce n’est plus acceptable, et les pouvoirs publics ne peuvent cautionner de telles démarches.

Le principe de précaution doit s’appliquer au plus vite. Les français (et notamment les enfants) doivent être vaccinés en sécurité, et notamment sans aluminium.

Pour rappel, l’association E3M a lancé cette semaine une campagne pour des vaccins sans aluminium : http://vaccinssansaluminium.org. Des preuves scientifiques sont apportées sur la toxicité de l’aluminium vaccinal, il est urgent de les prendre en compte afin de protéger efficacement nos enfants, avec des vaccins sans aluminium.

Retrouvez l’intégralité de l’analyse d’E3M sur ce pdf ou dans la rubrique DÉSINTOX du site de la campagne http://vaccinssansaluminium.org.

> Contacts presse :
Didier Lambert, Porte-parole de la campagne – 06 72 41 20 21
Yves Ketterer, Coordinateur de la campagne – 06 65 08 32 91

Email : contact@vaccinssansaluminium.org

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