« Alors que des milliers de patients attendent toujours leur traitement, les professionnels de la santé Français et Algériens se rencontrent cette semaine à Paris. Une occasion à saisir pour enfin traiter tous les patients français atteints de l’hépatite C. »
Lundi 5 et mardi 6 décembre, les deuxièmes Rencontres franco-algériennes de la Santé réuniront à Paris les professionnels de la Santé des deux pays. Ils y débattront notamment de la prise en charge et la gestion des patients dans une logique de coopération renforcée entre les deux pays. Le traitement de l’Hépatite C sera au cœur des échanges. En effet, si la ministre française a promis l’accès universel, l’accès effectif au traitement se fait encore attendre pour les milliers de patients atteints, notamment à cause du coût exorbitant du traitement princeps aujourd’hui proposé. Alors que l’Algérie a déjà résolu la question avec la production d’un médicament générique à moindre coût par les laboratoires BEKER, la France a sans doute l’occasion unique de faire un choix politique historique en faveur des patients et du système de santé collectif !
200 000 patients atteints de l’Hépatite C en France… et un traitement breveté à 46.000 euros par personne : c’est la terrible équation à laquelle doit faire face le gouvernement français, qui a enfin annoncé l’ouverture à tous à l’accès aux médicaments efficaces à 97%. Et pourtant, l’un de nos voisins, l’Algérie, a d’ores et déjà trouvé la solution, avec le traitement générique proposé par les Laboratoires Beker, à l’efficacité similaire à celle du princeps et au tarif 30 fois moins élevé : 2.000 euros par patient ! Un choix qui permet aujourd’hui au pays de traiter l’ensemble des malades sans déséquilibre du financement de son système de soins. Depuis janvier 2016, pas moins de 2500 patients ont été traités en Algérie… dont certains venus de France.
Faire dialoguer la France et l’Algérie
Si la France se heurte aujourd’hui au monopole du laboratoire princeps Gilead, le droit international l’autorise à ouvrir son marché aux génériques pour créer les conditions d’une concurrence saine au bénéfice des patients et du système de soins dans son ensemble. Une discussion qui pourrait enfin s’ouvrir à l’occasion des deuxièmes Rencontres franco-algériennes de la Santé ces 5 et 6 décembre à Paris, au cours desquelles seront abordées notamment des thématiques d’intérêt commun telles que la gestion des infrastructures de santé, la prise en charge et la gestion des patients et l’industrie pharmaceutique, en présence de plusieurs centaines de professionnels des deux pays dont les représentants des Laboratoires Beker.
« Nos deux pays coopèrent dans un grand nombre de domaines, dont la santé. Les rencontres de ce mois de décembre sont une occasion à ne pas manquer pour nos ministres de se rencontrer pour aborder un sujet de santé majeur et creuser les pistes pour sauver la vie de milliers de Français, » précise Rachid Kerrar, dirigeant des laboratoires Beker. « Le recours aux génériques doit permettre l’accès de tous au traitement. Cela a été notre souhait pour les patients algériens ; c’est aussi notre engagement plus global en tant que laboratoire professionnel. C’est largement ce que demandent les associations humanitaires partout dans le monde. C’est ce qui a permis à des milliers de patients atteints du HIV d’accéder au traitement. Nous devons la même justice aux malades de l’Hépatite C. Et il est possible de le faire sans ruiner l’Assurance maladie ».
Aujourd’hui, les laboratoires BEKER® vendent leur traitement à de nombreux patients à travers le monde, grâce à sa plateforme de conseil et de vente en ligne www.bekerhepc.com
A propos des laboratoires Beker
Les laboratoires BEKER, basés en Algérie, sont spécialisés dans le développement, la production et la commercialisation de médicaments génériques aux molécules innovantes répondant aux standards internationaux. Actuellement, les Laboratoires BEKER® proposent une centaine de produits concernant des aires thérapeutiques très diversifiées comme la cardiologie, le système nerveux, l’infectieux, la gastrologie, etc.
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