Un stress prénatal majeur fait perdre plus de 2 ans de durée de vie à l’âge adulte. Les chercheurs de l’Inserm ont obtenu ces résultats en étudiant une cohorte d’enfants nés entre 1914 et 1916 et dont certains, avant même leur naissance, avaient perdu leur père au combat. Le stress subit par la maman semble fragiliser le fœtus, à un moment de son développement caractérisé par une grande plasticité. Ces résultats sont publiés dans PNAS par une équipe de l’Unité Inserm 1169 « Thérapie génique, génétique, épigénétique en neurologie, endocrinologie, cardiologie et développement de l’enfant « , par Nicolas Todd, avec Pierre Bougnères et Alain-Jacques Valleron.
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Le stress subit par la maman
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Le stress subi par la maman