Le vendredi 8 septembre à Paris au Bureau du Parlement européen, une conférence de presse réunira :
Marie-Odile BERTELLA-GEFFROY (ex magistrate, responsable du Pôle santé du TGI de Paris, avocate spécialisée dans les questions sanitaires), André CICOLELLA (chimiste, toxicologue et chercheur français en santé environnementale, spécialiste de l’évaluation des risques sanitaires), Philippe EVEN (ancien doyen de la faculté de médecine de Paris et président de l’Institut Necker), Nell GAUDRY (porte parole de l’AFMT), Chantal LHOIR (présidente-fondatrice de l’association française des malades de la thyroïde -AFMT) et Michèle RIVASI (députée européenne écologiste, biologiste agrégée, co-auteure du livre Le Racket des laboratoires pharmaceutiques et comment en sortir). Et sous réserve :
· Claude MALHURET (sénateur Les Républicains)
· Laurence COHEN (sénatrice du Front de gauche)
· François RUFFIN (député La France Insoumise)
Un rassemblement est également organisé devant l’assemblée nationale, place Edouard Herriot (M° Assemblée nationale) à 11 h avec les associations de malades pour » l’abandon de cette nouvelle formule en urgence à l’instar des Pays Bas. Nous pourrions acheté des stocks d’ancienne formule en Allemagne pour parer à l’urgence. «
Le Levothyrox, fabriqué par le laboratoire allemand Merck, est l’un des médicaments les plus prescrits en France. Trois millions de patients souffrant de troubles thyroïdiens l’utilisent. Mise en service fin mars 2017, la nouvelle formule du Levothyrox réalisé par le laboratoire Merck à la demande de l’ANSM avait pour objectif d’uniformiser le produit, d’améliorer sa stabilité. Le principe actif n’aurait pas changé. Il s’est agit de supprimer un excipient (le lactose) par le mannitol et l’acide citrique anhydre.
Depuis ce changement de formule, des milliers de personnes se plaignent d’effets secondaires indésirables insupportables (lourde fatigue, crampes, paralysie, vertiges, maux de têtes, déprime…). Il a fallu attendre la fin du mois d’août pour voir l’ANSM réagir en mettant en place un numéro vert.
Contact presse : Sébastien Barles 06 75 00 63 31
aux effets secondaires signalés ( lourde fatigue,crampes,paralysie,vertiges,maux de têtes,déprime,sont a ajouter: perte de cheveux,douleurs abdominales intenses qui ont amenés mon épouse a une hospitalisation en urgence en soins intensifs puis a son décès 8 jours plus tard.