Pour juger de la qualité des soins en France, beaucoup demandent la publication des taux de mortalité de chaque établissement de santé. Le sujet est pourtant délicat : comment comparer la mortalité d’hôpitaux et cliniques prenant en charge des patients dans des états graves avec des établissements ne réalisant aucune opération à risque ? Comment éviter que la publication de ces taux n’ait des effets pervers sur les pratiques des établissements ?
Après analyse de la littérature et des expériences internationales, la HAS propose aujourd’hui une méthode pour aboutir à des indicateurs fiables et pertinents : mesurer la mortalité par pathologie ou par acte réalisé, communiquer les résultats aux établissements puis dans un second temps au grand public.
Après analyse de la littérature et des expériences internationales, la HAS propose aujourd’hui une méthode pour aboutir à des indicateurs fiables et pertinents : mesurer la mortalité par pathologie ou par acte réalisé, communiquer les résultats aux établissements puis dans un second temps au grand public.
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Dramatique de s’engager dans ce type d’indicateur….
C’est evident qu’ils seront publiés et inciterons les établissements à sélectionner leur patient.