Le rapport du Comité scientifique chargé d’élucider les causes possibles des agrégats de cas constatés a été rendu public. Il avait été présenté la veille au Comité de Suivi, auquel participait le président du RES, André Cicolella.
La 1ère phrase prononcée par la présidente du Comité scientifique résume l’état d’esprit dans lequel le comité a travaillé : « Le pourcentage de malformations est le même depuis l’Antiquité, de 3 à 5 % ». Phrase pour le moins incongrue, car on ne sache pas que les registres de malformations existaient dans l’Antiquité, mais qui traduit le point de vue du rapport : les agrégats sont le fait du hasard et il ne peut pas y avoir de causes environnementales.
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Contacts presse : André CICOLELLA – contact@reseau-environnement-sante.fr