En 2018, était annoncée ce qui devait être une révolution pédagogique ambitieuse, signant la fin d’un système à la dérive. Réformer le second cycle des études de médecine était une nécessité pour offrir un apprentissage plus pertinent, un développement du raisonnement clinique et l’opportunité d’un épanouissement hors du cursus médical afin de devenir de meilleurs médecins pour demain.
« Mais force est de constater que par un manque cruel d’anticipation, une absence assumée de communication et un mépris affiché des attentes des étudiants, aujourd’hui les ministères renvoient l’image d’une réforme inaboutie », déplore l’ANEMF.