« Le glyphosate ne présente pas de risque cancérigène » ; « Il n’est pas génotoxique » ; « Le glyphosate est inerte »; « Le glyphosate est biodégradable » ; « C’est l’herbicide le plus sûr qui existe sur le marché ». etc.
Autant de phrases brandies très régulièrement par les défenseurs de cet herbicide, l’idée étant de faire passer cette substance comme relativement anodine pour l’environnement, voire pour la santé. Et pour cela ils ont un argument de poids : les avis des agences règlementaires qui l’ont classé seulement irritant pour les yeux et qui ont donné leur avis favorable au renouvellement de son autorisation de mise sur lemarché. Analyses qui divergent des travaux de la recherche académique tels que ceux de l’INSERM ou du CIRC.
Alors que l’autorisation de cet herbicide arrive à son terme en fin d’année et que nous attendons les rapports des agences évaluatrices (EFSA et ECHA) qui doivent paraitre prochainement, qu’en est-il vraiment ? Pourquoi cette controverse et ces avis divergents ?
« Nous allons tacher de répondre à ces questions dans le cadre d’un nouveau rapport que nous vous présenterons lors d’un point presse, mardi 3 mai à 10h, via Zoom, annonce Générations futures. Nous nous intéresserons tout particulièrement à la question de la génotoxicité suspectée du glyphosate. »
En présence de :
- Pauline CERVAN, toxicologue, chargée de mission responsable des questions scientifiques et règlementaires pour Générations Futures
- François VEILLERETTE, porte-parole de Générations Futures
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Contacts presse
Nadine Lauverjat – Déléguée Générale de Générations Futures
François Veillerette – Porte-parole de Générations Futures