Le secteur de l’offre de soins connaît encore aujourd’hui les répliques du séisme qu’a été la crise du covid et qui a mis au grand jour les difficultés qui couvaient : pénurie de soignants et attractivité des métiers, crise des urgences et des soins non programmés, coordination insuffisante entre ville et hôpital et entre structures de soins publiques et privées, financement et gouvernance… Les différentes initiatives prises par les acteurs pour faire face – au premier rang desquels les décideurs publics – doivent permettre de reconfigurer l’offre de soins et l’organisation de soins pour enfin répondre à la demande des patients et des usagers.
Les hôpitaux et cliniques privées, tant dans l’offre que dans la continuité des soins, jouent un rôle fondamental aux côtés des autres acteurs. C’est en effet dans la coopération et la contribution, quel que soit le statut des établissements, que des réponses pourront être apportées. Pour la Fédération de l’hospitalisation privée (FHP), la solidarité doit être le maître-mot des organisations pour assurer l’accès aux soins des citoyens. Dès lors, quelle forme cette solidarité doit-elle prendre ? Comment peut-elle se traduire en termes de coordination, de soignants, de financement ?
Après avoir reçu la Fédération hospitalière de France (FHF) et Unicancer, nilerecevra Lamine Gharbi, président de la Fédération de l’hospitalisation privée (FHP), à l’occasion d’un café nile mercredi 19 avril de 8h30 à 10h.