Après des semaines de tensions sociales intenses et inédites autour de la réforme des retraites et malgré un affichage gouvernemental contrit d’une volonté de discussions avec les partenaires sociaux autour du travail et des salaires, force est de constater que rien ne change dans la manière dont l’exécutif exerce le pouvoir dans notre pays.
Le report des séances de négociations prévues avec les organisations représentatives des praticiens hospitaliers du 15 et 16 mai à une date ultérieure, faute d’obtention d’un mandat, donc d’un financement, par la DGOS en est pour nous le dernier exemple.