« Passons sur la taxe lapin, dispositif porté depuis 2018 par l’UFML-S, qui est devenu un outil d’affichage pour le Premier ministre, inapplicable en l’état, sous-évalué, inaudible… Pas de changement annoncé du code de santé publique (on rappelle que l’on ne peut facturer un rendez-vous qui n’a pas été honoré), aucune explication juridique du mode de preuve d’un rendez-vous non honoré, et l’annonce d’une récupération de la pénalité du patient par les plateformes de rendez-vous, dénoncée quelques jours plus tard par Doctolib… Cette première annonce a pourtant été la plus relayée par la presse et a joué pleinement son rôle de détournement du regard du danger des autres mesures… » pointe l’UFML-S.
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