« L’omerta doit cesser, et celles et ceux qui ont été ou sont victimes d’humiliations ou de harcèlement sexuel ou moral doivent parler. Ces comportements lorsqu’ils existent doivent être dénoncés et punis et celles et ceux qui en sont victimes doivent ainsi être reconnus.
Les médecins qui se livrent à des violences sexistes et sexuelles n’ont rien à faire dans notre profession qu’ils salissent. »