Il était attendu depuis cet été : l’arrêté définissant les zones sous-dotées est paru au Journal Officiel hier, le 15 novembre. ReAGJIR, le syndicat qui rassemble et représente les jeunes généralistes (remplaçants, jeunes installés et chefs de clinique), en explique l’intérêt et les limites.
Une démarche territorialisée avec des règles nationales
Le Code de la Santé Publique prévoit un zonage des territoires sous-denses en médecins généralistes. Ce zonage conditionne certaines aides : celles prévues par la convention médicale, celles relevant du Pacte territoire-santé (PTMG, CESP, MSP, ESP-CPTS, etc.), celles financées par le fond d’intervention régional (FIR), et celles des collectivités territoriales. « Le précédent zonage est largement obsolète. Il remonte à 2011, sur une base de données datant de 2008. A l’heure où l’inquiétude face à la désertification médicale est croissante, c’est une bonne nouvelle pour les Français que le gouvernement se soit repenché dessus. », explique le Dr. Yannick SCHMITT, Vice-président de ReAGJIR.
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