Un nouveau rapport publié par l’OMS, l’UNICEF et le Réseau international des groupes d’action pour l’alimentation infantile (IBFAN) révèle que malgré les efforts déployés pour mettre fin à la promotion nocive des substituts du lait maternel, les pays ne parviennent toujours pas à protéger les parents contre les informations trompeuses.
La pandémie de COVID-19 montre qu’il faut adopter une législation plus stricte pour protéger les familles contre les fausses allégations concernant l’innocuité des substituts du lait maternel et contre les pratiques commerciales agressives.