A la veille de la présentation du projet de loi concernant la réforme des études en maïeutique, l’Intersyndicat des Praticiens Hospitaliers (INPH) et l’Organisation nationale syndicale des sages-femmes (ONSSF) affirment « une fois encore que la profession de sage-femme doit, lors de la formation initiale comme lors de l’exercice professionnel, bénéficier du même traitement que les autres professions médicales » :
● intégration universitaire dans les plus brefs délais, avec financement adéquat
● accès à l’enseignement et à la recherche via le statut hospitalo-universitaire
● statut de praticien hospitalier à l’hôpital public
Les deux organisations soutiennent entièrement le récent communiqué de presse co-écrit par l’Ordre national des sages-femmes, le Collège National des Sages-femmes de France, l’Association Nationale des Etudiant.e.s Sages-Femmes et la Conférence Nationale des Enseignants en Maïeutique.