Inconscient d’être dans un match de rugby, le SML négociait dans l’idée d’une co- construction de la convention, bénéfique aux patients parce qu’elle le serait aux médecins. Devant l’indigence des revalorisation proposées, le SML a demandé un espace de liberté tarifaire pour les praticiens coincés en secteur 1.
Une revalorisation du J et du point travail, une association acte technique acte de la NGAP : en vain. Le SML a acté l’échec de toute tentative de dialogue constructif. Alors si c’est l’aspect « viril » (terme du Dr. BRAUN !) qui a mené à cette parodie de négociations, le SML rappelle qu’il a élu à sa tête une chirurgienne parfaitement capable de pratiquer l’ablation de tout appendice dépassant du corps et qui aurait pu perturber le processus de négociations. Cette possibilité vaudra d’ailleurs pour toute nouvelle tentative institutionnelle de « viriliser » les débats.
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