Problèmes de repérage, mauvais usage des antidépresseurs : la dépression doit être mieux identifiée et traitée de façon personnalisée
Dans sa vie, une personne sur cinq connaîtra un épisode dépressif. Si cette maladie est connue et ancrée dans tous les esprits, de nombreux cas de dépression ne sont pourtant ni repérés ni traités, augmentant le risque de suicides et entrainant une dégradation de la vie sociale et personnelle. De plus, la prise en charge de la dépression est insatisfaisante : elle repose trop souvent sur les antidépresseurs, prescrits généralement sans suivi ni psychothérapie. Les médecins généralistes sont en première ligne pour détecter cette maladie et leur rôle doit être conforté. C’est pourquoi la HAS publie aujourd’hui une recommandation pour les aider à cibler les spécificités de cette maladie et proposer la prise en charge la plus adaptée à chacun.
Dans sa vie, une personne sur cinq connaîtra un épisode dépressif. Si cette maladie est connue et ancrée dans tous les esprits, de nombreux cas de dépression ne sont pourtant ni repérés ni traités, augmentant le risque de suicides et entrainant une dégradation de la vie sociale et personnelle. De plus, la prise en charge de la dépression est insatisfaisante : elle repose trop souvent sur les antidépresseurs, prescrits généralement sans suivi ni psychothérapie. Les médecins généralistes sont en première ligne pour détecter cette maladie et leur rôle doit être conforté. C’est pourquoi la HAS publie aujourd’hui une recommandation pour les aider à cibler les spécificités de cette maladie et proposer la prise en charge la plus adaptée à chacun.
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