Actuellement en pleine ébullition, l’imagerie médicale pourrait bien avoir trouvé une technique inédite permettant d’observer de multiples facettes du vivant en temps réel et de manière non invasive.
En effet, des équipes de chercheurs de l’Inserm et du CNRS au sein de l’Institut Langevin (ESPCI Paris – Université PSL / CNRS), de l’Accélérateur de Recherche Technologique (A.R.T. Inserm) en Ultrasons biomédicaux et du centre de recherche cardiovasculaire de Paris (Inserm / Université Paris Descartes) ont mis au point un nouvel instrument d’imagerie médicale associant la tomographie par émission de positons – « Pet-scan* » – avec l’imagerie ultrasonore ultrarapide, baptisé PETRUS pour Positron Emission Tomography Registered Ultrafast Sonography. Elles ont obtenu des images en trois dimensions où l’anatomie, le métabolisme, la fonctionnalité et même l’élasticité des organes sont parfaitement superposés.
Ces travaux font la couverture de la revue Nature Biomedical Engineering le 6 Février.
Lire l’intégralité du communiqué