Dans un contexte d’hésitation croissante face à la vaccination, des chercheurs de l’Inserm et des pédiatres des CHU de Nantes et du Grand-Ouest ainsi que de l’AP-HP tirent la sonnette d’alarme concernant les conséquences des infections bactériennes sévères chez l’enfant.
Dans un travail paru dans la revue Paediatricand Perinatal Epidemiology, les chercheurs ont montré, sur une période de 5 ans, que 25 % des décès et 25 % des séquelles graves survenus chez des enfants avec une infection bactérienne sévère (principalement méningite) auraient pu être évités par la simple application du calendrier vaccinal notamment contre le méningocoque et le pneumocoque.
Retrouvez l’intégralité du communiqué de presse en ligne
Contact presse : presse@inserm.fr