Les élections aux URPS viennent de se tenir et la CSMF tient d’abord à remercier l’ensemble des médecins qui l’ont soutenue et l’ensemble des candidats qui se sont investis dans cette campagne électorale.
Ces élections aux URPS amènent plusieurs réflexions :
- Une très faible participation, qui est à 22,66 % contre presque 40 % en 2015. Cette baisse de la participation touche inégalement l’ensemble des autres professions appelé à voter. Les explications sont certainement multiples mais le nouveau mode de scrutin par voie numérique ainsi que la période de pandémie liée à la COVID19 sont certainement des éléments majeurs.
- La représentation médicale se trouve balkanisée entre huit syndicats qui se présentaient devant les électeurs. Cette balkanisation est très préjudiciable pour la place et la force de la médecine libérale face à nos interlocuteurs. Elle doit amener une réflexion de l’ensemble des leaders syndicaux. Elle a également participé à la désaffection des électeurs…
- Dans un contexte particulièrement difficile, la CSMF reste en tête tant en termes de sièges que de voix. Ceci malgré la poussée des « yakafokon » et des replis identitaires qui touchent aussi l’ensemble de notre société.
- Chez Les Généralistes, la CSMF retrouve la 2ème place. Chez Les Spécialistes, les listes de la CSMF font un bon score face à l’alliance de deux syndicats, et confortent ainsi la CSMF comme le 1er syndicat au total des deux collèges.
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Relations presse : Adrien Chapron / com@csmf.org