Alors que son représentant avait été élu Vice-président par l’Assemblée plénière de l’UNPS le 9 juillet à l’occasion du renouvellement du Bureau, le syndicat MG France aura mis moins de 48h pour le faire démissionner.
Les arguments accompagnant cette annonce dévoilent une vision étonnante de la démocratie et s’accompagnent d’une violente attaque contre trois organisations et leurs représentants élus au Bureau. Ainsi les masques tombent : pour certains, l’interprofessionnalité n’est que du vent. La coordination et la coopération ne peuvent s’imaginer qu’avec des amis choisis ; et en dehors des institutions représentatives dédiées.
L’UNPS rappelle qu’elle est constituée de l’ensemble des syndicats représentatifs des professions de santé libérales.
L’UNPS rappelle qu’elle a été créée par la loi, dans le but notamment d’émettre des propositions relatives à l’organisation du système de santé français ainsi qu’à tout sujet d’intérêt commun aux professions de santé ; elle entend donc être l’interlocuteur privilégié des pouvoirs publics dans ce domaine.
L’UNPS va poursuivre ses travaux, validés à chaque étape par son Assemblée plénière. La reprise de la négociation d’un Accord cadre permettant une véritable coordination interprofessionnelle est un des enjeux majeurs et urgents pour une meilleure prise en charge des patients.
Une élection partielle de Bureau pour remplacer le membre démissionnaire aura lieu lors de l’Assemblée plénière de septembre prochain.
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